poesies d'ailleurs

Publié le 27 Juin 2024

Ce poème a été écrit pour moi, par Régis : 

https://au-plaisir-secret.over-blog.com/

Merci à lui !

 

Les ailes des rêves, un chemin vers demain,
Aux confins de la nuit, où les rêves prennent vie,
Dansant avec les étoiles, sous le voile de l'infini.
Un monde où le temps dévoile, des merveilles inassouvis,
Où chaque image est un message, un secret divin.
Les rêves sont des voyages, des échappées sans fin,
Ils nous emmènent loin, au-delà de l'horizon,
Dans des lieux sereins, remplis d'émotion.
Continue de rêver, dans ce monde sans frontières,
Où tout peut arriver, sous la voûte éphémère.
Car les rêves sont des ailes, qui nous portent vers demain,
Ils sont l'étincelle, qui éclaire notre chemin.
Alors rêve, rêve encore et toujours,
Et que chaque aurore, soit le début d'une nouvelle aventure.
Car dans le silence de la nuit, sous le regard des étoiles,
C'est là que la vie s'épanouit, dans le royaume des rêves sans voile.

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Rédigé par Régis

Publié dans #Poésies d'ailleurs

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Publié le 6 Juin 2013

 

 

 

 

 

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Rédigé par Paloma

Publié dans #Poésies d'ailleurs

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Publié le 27 Avril 2010

Rédigé par Paloma

Publié dans #Poésies d'ailleurs

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Publié le 25 Janvier 2010




Pour Toi...


Je rêve

Mon amour pour avoir figuré mes désirs
Mis tes lèvres au ciel de tes mots comme un astre
Tes baisers dans la nuit vivante
Et le sillage de tes bras autour de moi
Comme une flamme en signe de conquête
Mes rêves sont au monde
Clairs et perpétuels.

Et quand tu n'es pas là
Je rêve que je dors je rêve que je rêve. 

Paul Eluard


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Rédigé par Paloma

Publié dans #Poésies d'ailleurs

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Publié le 7 Novembre 2009

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En fin de patience


Tout est patience
Rien ne vient à point
Au bon instant

Sur le chemin de
La patience se manifeste
Le bon instant

Celui que l'on attend
Depuis des jours des mois
Des années
Le voici enfin
Présent et vivant !

Profitons de ce présent
Longtemps espéré
Et plus qu'attendu
…Sagement !

Gaëtan Faucer


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Rédigé par Paloma

Publié dans #Poésies d'ailleurs

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Publié le 4 Novembre 2009






Ne sachant pas !


J'ai croisé ton regard, 
Juste à l'aube d'un soir,
Toi, tu es venu vers moi, comme ça,
Il me semble tant m'éprendre de toi.
Je ne sais si tu me vois,
Te regarder tout bas, à l'ombre de ta voix,
Je ne sais si tu me vois, 
Moi qui ne sais faire que ça.
Combien même si je ne te connais pas,
Il y a parfois des choses que l'on ne dirige pas,
Comme mon coeur se dirige vers toi,
Je désirerais tant que tu me voies.
Simplement toi, toi qui passes autour de moi,
Sommes- nous dans ce monde si loin l'un de l'autre, 
Lequel de nous deux osera faire le premier pas ?
Lequel de nous deux le criera à haute voix ? 
Ne sachant pas si tu me vois,
Il faudra bien que je vienne jusqu'à toi,
Je ne resterai pas sans être sûr de moi,
Quitte à me faire souffrir au son de ta voix,
De ta voix qui pourrait me fuir après ça !
En attendant tu vois, je passe juste là,
Craintivement, je passe juste à côté de toi,
Sans mots dire, puisque ne sachant pas.....
Je devrais me maudire de ne pas franchir le pas.
Et combien même si je ne te connais pas,
Il y a cette chose en moi que je ne contrôle pas,
Comme mon coeur se répand autour de toi,
Il se répand, tremblant, tout autour de toi. 
Ne sachant pas.........
Je t'aime tout bas........
Ne sachant pas......
Je viens vers toi......

Gif animé Etoile gratuit

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Rédigé par Paloma

Publié dans #Poésies d'ailleurs

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Publié le 23 Octobre 2009




 


Je te regarde et le soleil grandit...

 


Je te regarde et le soleil grandit


Il va bientôt couvrir notre journée


Eveille-toi coeur et couleur en tête


Pour dissiper les malheurs de la nuit



Je te regarde tout est nu


Dehors les barques ont peu d'eau


Il faut tout dire en peu de mots


La mer est froide sans amour



C'est le commencement du monde


Les vagues vont bercer le ciel


Toi tu te berces dans tes draps


Tu tires le sommeil à toi



Eveille-toi que je suive tes traces


J'ai un corps pour t'attendre, pour te suivre


Des portes de l'aube aux portes de l'ombre


Un corps pour passer ma vie à t'aimer

Un coeur pour rêver hors de ton sommeil

 


Paul Eluard



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Rédigé par Paloma

Publié dans #Poésies d'ailleurs

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Publié le 8 Octobre 2009




La musique, ce soir, berce comme une vague mourante. Elle est si douce qu’elle se fond dans l’air et se dilue dans le silence. Note à note s’égrène la mélodie, comme la fleur s’effeuille pétale à pétale, sans bruit. Et l’harmonie flotte, poussière de sons, dans l’atmosphère paisible...

La musique est douce, douce... L’ombre en est tranquillisée, le cœur saisi. Presque rien pour l’oreille, tout pour l’âme. Je ne sais quoi dans l’heure endormie la subtilise, l’évapore.

Elle semble venir de très loin, peut-être du fond de mon passé, comme une brise qui aurait fait le tour de la terre; et je ne sais si la chanson est en-dedans ou en-dehors de moi, tant elle est douce, douce, douce...

Et cependant, elle est forte comme une puissance céleste, puisqu’elle bouleverse mon être et fait pleurer mes yeux. Je l’entends à peine, mais elle exulte en moi, tel qu’un orgue au matin de Pâques, tel qu’un orchestre innombrable, tel qu’un carillon triomphal !

Sa douceur formidable enivre mon cerveau, comme pas un vin de France ou d’Italie. Pourtant, je ne perçois qu’un peu de bruit qui palpite, — le battement de mon cœur, peut-être — tant elle est douce, douce, douce...

Moi seul l’entends — si l’on peut dire, — cette musique qui passe avec des ailes de vent.

Elle évoque quelque chose qui ressemble à une fleur ou un visage... C’est imprécis comme une brume, inconsistant comme un nuage. Je ne sais ce que c’est — peut-être un souvenir, peut-être un songe, peut-être rien, comme cette musique douce, douce, douce est peut-être irréelle...

Car c’est le soir, dont l’âme ne se défie pas, le soir magique et mystérieux. Le moindre souffle est comme un archet qui joue sur nos nerfs la mélodie vraie ou fausse, selon le jour et selon la vie.

 À cet instant, si la douceur indicible d’une musique que je n’entends pas m’émeut jusqu’au bonheur, si je le sens, si je l’écris, en vérité, j’ignore pourquoi, mon cœur m’est inconnu...


 

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Rédigé par Paloma

Publié dans #Poésies d'ailleurs

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Publié le 12 Septembre 2009






L'heure de ma mort, depuis dix-huit mois,
De tous les côtés sonne à mes oreilles,
Depuis dix-huit mois d'ennuis et de veilles,
Partout je la sens, partout je la vois.

Plus je me débats contre ma misère,
Plus s'éveille en moi l'instinct du malheur ;
Et, dès que je veux faire un pas sur terre,
Je sens tout à coup s'arrêter mon coeur.

Ma force à lutter s'use et se prodigue.
Jusqu'à mon repos, tout est un combat ;
Et, comme un coursier brisé de fatigue,
Mon courage éteint chancelle et s'abat.


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Rédigé par Paloma

Publié dans #Poésies d'ailleurs

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Publié le 9 Septembre 2009


Forme tes yeux en les fermant.


Donne aux rêves que tu as oubliés
la valeur de ce que tu ne connais pas.


J'ai connu trois lampistes,
cinq garde-barrières femmes,
un garde-barrière homme.
Et toi?


Ne prépare pas
les mots que tu cries.


Habite les maisons abandonnées.
Elles n'ont été habitées que par toi.


Fais
un lit de caresses
à tes caresses.


S'ils frappent
à ta porte,
écris
tes dernières volontés
avec la clé.


 
Règle ta marche sur les orages


 
Vole
le sens
au son,
il y a des tambours voilés
jusque dans les robes claires.


PARLE SELON LA FOLIE QUI T'A SÉDUIT.

 
Fais-leur la surprise de ne pas confondre
le futur du verbe avoir avec le passé du verbe être.


Couche-toi,
lève-toi
et maintenant couche-toi.

 

Aie l'âge de ce vieux corbeau qui dit: VINGT ANS


 
Corrige tes parents


Veux-tu avoir à la fois le plus petit et le plus inquiétant livre du monde?
Fais relier les timbres de tes lettres d'amour et pleure,
il y a malgré tout de quoi.


Ta liberté
avec laquelle
tu me fais rire
aux larmes
est TA LIBERTÉ


Tu prends la troisième rue à droite,
puis la première à gauche,
tu arrives sur une place,
tu tournes près du café que tu sais,
tu prends la première rue à gauche,
puis la troisième rue à droite,
tu jettes ta statue par terre et tu restes.


Fais-moi le plaisir
d'entrer et de sortir
sur la pointe
des pieds.


Ne garde pas sur toi ce qui ne blesse pas le bon sens


L'Immaculée conception, 1930

 

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Rédigé par Paloma

Publié dans #Poésies d'ailleurs

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