Il y avait encore quelques larmes
Qui traînaient au fond de mon coeur
Quand tu as frappé à ma porte virtuelle
Il y avait quelques mots déchirants
Que j'écrivais aux ombres du passé
Comme une longue et triste mélopée
Et tu es apparu au solstice de ma peine
Comme une arabesque sur ma tristesse
Tu as cru à tout l'amour que j'avais à donner
Et j'ai senti la sincérité de ton âme
Tu m'as sortie de la nuit
Où je m'étais endormie
Tu as brodé de mots étoilés
Mon pauvre coeur déchiré
Je voudrais tant te donner plus...
Bien plus que mon amour...
Ecrit le 22/11/2010